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Première mise en évidence d’ondes non linéaires autoconfinées au sein de structures plasmoniques
En apportant les toutes premières preuves expérimentales de l’existence de ce phénomène, les chercheurs de FEMTO-ST et leurs partenaires espèrent pouvoir générer cet effet non-linéaire à l’aide de sources laser peu intenses, afin de l’utiliser pour des applications en nanophotonique.
Les ondes se confinent à leur tour !
Prédites depuis plus de 40 ans, les ondes non-linéaires autoconfinées dans les structures plasmoniques sont des ondes qui se propagent, pour partie, dans un matériau diélectrique non linéaire, ainsi que dans un métal qui assure une forte localisation spatiale du champ électromagnétique. Malgré les récentes avancées de la plasmonique nonlinéaire, différents problèmes techniques n’avaient pas permis jusqu’ici de les observer. Des chercheurs et chercheuses de FEMTO-ST, en lien avec l’institut Fresnel notamment, ont apporté les premières preuves expérimentales de l’existence de ces ondes non linéaires autoconfinées dans les structures plasmoniques.
Ces travaux ont été publiés dans la revue ACS Photonics.
https://doi.org/10.1021/acsphotonics.0c00906
Pour FEMTO-ST, Mathieu Chauvet (département d’Optique) et Tintu Kuriakose (aujourd’hui chercheuse associée à l’Université de Sheffield en Angleterre) sont co-auteurs de cette publication.
Plus d’informations dans l’actu de l’INSIS/CNRS